Elle est en photo sur la première page du supplément
du Wall Street Journal dans le quotidien l’Opinion. Charlotte
Japp a 32 ans, elle est en pleine forme, dans son seyant imperméable
– Burberry probablement –, avec un regard lumineux tourné vers
l’avenir, le sien. Elle est actuellement responsable de plateforme chez
FF Venture Capital, à New York. On ne sait en quoi ça consiste, mais on
peut imaginer que c’est intéressant et plutôt bien payé. Elle a lancé elle-même
une start-up mettant en relation des jeunes diplômés et des travailleurs
chevronnés. Mais, surtout, elle se rêve, nous dit l’article, « en pionnière des carrières ultra-longues ». Ce qui justifie ce titre en
pleine page auquel Charlotte, appelons-la par son prénom, ça se fait dans les
start-up, souscrit pleinement : « Et si on travaillait pendant soixante ans ? » On aimerait en reparler avec elle dans
cinquante-neuf ans et onze mois.. . Ou, faute d’y arriver,
comme disaient nos grands-mères, « après huit jours sous une benne ».
mardi 21 février 2023
« Sous une benne », le billet de Maurice Ulrich.
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