Madame Gabrielle Chou est contente. Fondatrice d’une
entreprise de l’intelligence artificielle, elle écrit dans l’Opinion que
si, dans son extension dite « générative », celle-ci déchaîne les passions, « c’est parce qu’elle permet désormais à chacun de générer des nouveaux contenus
originaux et cohérents ». Bien, mais de quoi s’agit-il ? De la
sortie du système chatbot, de la société OpenAI d’Elon Musk, capable à la demande
de rédiger des devoirs scolaires, des articles de presse,
des scénarios… Dès les premiers jours, un million d’internautes l’ont
déjà sollicité et il pourrait, dans un an, rapporter son milliard de dollars.
Pour madame Chou, la course est lancée pour les investisseurs et « nous attendons des logiciels qu’ils collaborent avec nous ». Ce serait bien sympa de leur part. Mais, interroge
tout de même un article des Échos un peu plus réservé, « vers quel référentiel idéologique ces intelligences artificielles
renvoient-elles » ? On allait le dire. Manquerait
plus qu’elles lisent le Capital.
mardi 10 janvier 2023
« Génération », le billet de Maurice Ulrich.
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