Il fallait bien deux journalistes comme Nicolas
Demorand et Léa Salamé pour un entretien, exclusif, avec le président de la
République comme celui que l’on a entendu sur France Inter, lundi matin, à
propos de la situation en Iran, avant d’écouter quatre militantes iraniennes,
reçues auparavant par Emmanuel Macron. Deux mois après le début du soulèvement,
il n’a pas économisé ses mots. « Je leur ai dit notre
admiration, notre respect, notre soutien, car leur combat est celui des valeurs
qui sont notre devise, est celui d’un universalisme de liberté auquel nous croyons. » Pour lui, ces femmes portent ce combat « avec un courage exceptionnel, au prix de leur vie, de celle de leurs
proches ». Mais encore ? « Je suis, en tout cas, favorable à ce que nous ayons une réaction diplomatique forte et des sanctions sur les
personnalités du régime qui ont une responsabilité dans ce qui se passe et dans la répression
de cette révolution. » Sans doute… Une fois les portes ouvertes, on
s’est demandé ce qu’il y avait derrière qui motive un tel entretien. Rien, mais
en exclusivité.
lundi 14 novembre 2022
« Rien », le billet de Maurice Ulrich.
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