« Un troisième tour, cela n’existe pas. Il ne faut pas vous laisser intimider par ceux qui voudraient
rejouer aux législatives ce qui a été tranché aux présidentielles. » S’adressant aux candidats de la majorité, Emmanuel
Macron feint de ne pas savoir ce qu’est la cohabitation, qui a amené deux fois,
dans la Ve République, le président à nommer un premier ministre de
l’opposition. C’était mardi, aux Docks d’Aubervilliers. Ça fait plaisir à
entendre. Le chef de l’État, ses proches, une partie de la droite et d’anciens
éléphants socialistes prennent au sérieux l’hypothèse d’un succès de l’union de
la gauche aux législatives. Au point que de nouvelles voix s’élèvent. « Une majorité pour Macron, moindre mal face au danger que représente Mélenchon » , écrit un récent rallié dans une tribune. En
2015, il avait publié, dans sa commune, une affiche la montrant submergée par
les immigrés. C’était un ami d’Éric Zemmour, c’est un proche de Marine Le Pen : Robert Ménard, le maire de Béziers. Un soutien de poids. Emmanuel Macron rassemble.
vendredi 13 mai 2022
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