« Décomposition », en titrant
ainsi sa chronique hebdomadaire dans le quotidien de la droite, Luc Ferry ne
cache pas son inquiétude. En
lieu et place de la recomposition politique annoncée au début du
quinquennat, la vérité apparaît tout autre et donc c’est à « une décomposition délétère » que nous assistons, qui nous installe « dans un paysage aussi inquiétant que peu enthousiasmant ». La France est déchirée comme jamais, les extrêmes
représentent plus de 50 % de l’électorat, tandis que les partis du gouvernement
sont « laminés », ce qui
n’annonce rien de bon. Et donc du côté d’une droite « écartelée entre un centre mou et inefficace et un populisme dur », Marine Le Pen
aura « un boulevard pour récupérer enfin les LR soucieux d’en finir avec l’échec ». Inquiétant en effet. Sinon, on croit bien que c’est
le même Luc Ferry qui, en duo dimanche soir avec Daniel Cohn-Bendit sur une
chaîne télé, accueillait un troisième intervenant. « Tiens, voilà Robert. » Ben oui, Robert Ménard, soutien indéfectible de
Marine Le Pen. Robert, quoi !
jeudi 14 avril 2022
« Robert », le billet de Maurice Ulrich
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