« Habemus Papam ! »(Nous avons un pape !) peuvent se dire les catholiques du monde entier et
c’est heureux, au moins pour eux, car ce n’était pas gagné. Dans un livre
d’échanges avec des personnes en grande précarité, intitulé Des pauvres
au pape, du pape au monde (éd. du Seuil), François se raconte. On
apprend ainsi qu’il est un lecteur assidu de Baudelaire et des Fleurs
du mal, de Verlaine, mais aussi qu’il avait eu un grand amour avant
d’entrer au séminaire, Amalia, à qui il avait annoncé qu’il deviendrait prêtre
si elle ne l’épousait pas. Sinon, au vu de son intérêt pour les questions
sociales, certains prétendent, dit-il, « qu’il est communiste ». En d’autres termes, si Amalia lui avait dit oui, on aurait eu quelques
chances de retrouver François à table avec elle et leurs gosses en train de
lire l’Huma, en mangeant une bonne viande accompagnée d’une
bonne bière. Ça vaut les hosties et le vin de messe. On comprend qu’au Vatican,
on se pose des questions. Parution aujourd’hui, et ce n’est pas un poisson !
vendredi 1 avril 2022
« Amalia », le billet de Maurice Ulrich.
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