Qu’est-ce qu’une vie
bonne pour les mortels ? C’est, selon Luc Ferry, la question centrale de la
philosophie à laquelle il répond dans sa dernière chronique du Figaro intitulée
« Une brève histoire de la philosophie », inspiré peut-être par cet humoriste à
Paris qui nous annonce une histoire de la peinture en moins de
deux heures. Là, c’est en cinq minutes. Donc, les hommes auraient d’abord
voulu se mettre en accord avec le cosmos, puis avec Dieu, puis avec une pensée
du devenir collectif de l’humanité, puis avec eux-mêmes et un peu avec les
autres… Mais Luc Ferry va plus loin avec, dit-il, en héritage du christianisme,
cet événement majeur que fut le mariage d’amour et la mise en harmonie de soi
avec ceux que nous aimons ou pouvons aimer. Ainsi sommes-nous passés du cosmos,
de Dieu et de l’humanité à une nouvelle transcendance, « celle de cette
figure inédite du sacré qu’est l’être aimé ou possiblement aimé ». Moi, ma
femme et mon chien fidèle. Ou bien il a quelque chose à se faire
pardonner.
vendredi 3 décembre 2021
« Mon chien », le billet de Maurice Ulrich.
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