Elle a même « des amis de gauche », a-t-elle déclaré au journal la Repubblica en estimant aussi que son nom de famille n’avait rien à voir avec sa popularité : « La personne est plus importante. »
C’est donc par hasard que Rachele Mussolini, l’une des petites filles du
dictateur fasciste, était candidate au premier tour des élections municipales à
Rome pour le parti d’extrême droite Fratelli d’Italia, en réalisant d’ailleurs
le meilleur score à titre individuel et n’étant pas tête de liste avec plus de
8 200 voix. Ce sera donc son second mandat en tant que conseillère
municipale après le second tour qui opposera le candidat de droite Enrico
Michetti, avocat et animateur radio, et le candidat de centre-gauche,
l’ex-ministre des Finances, Roberto Gualtieri.
En fait, c’est comme ça,
dans la famille Mussolini, on est d’extrême droite, comme Alessandra, demi-sœur
de Rachele, ancienne membre du Parlement européen. Mais c’est vrai, ce n’est
sans doute pas le nom de famille qui compte. En France, on a bien un enfant de
Pétain qui ne porte pas son nom.
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