En ces temps un brin moroses, pour ne pas dire plus,
les occasions de rire sont précieuses et parfois inattendues. Samedi dernier,
c’est le Grand Témoin des pages « Entreprises » du Figaro qui
nous en a conté, une bien bonne. Président exécutif de la banque Rothschild
& Co, dont les conseils empreints d’intégrité et d’empathie, selon ses
termes, profitent aux investisseurs dans plus de quarante pays, Alexandre de
Rothschild soulignait comment, dans cette période difficile, « nos
clients ont pu mesurer la mobilisation et le talent de nos équipes », en
particulier ceux qui ont puisé dans la crise « une énergie positive ». Mais,
lui demandait-on : « A-t-on toujours besoin de son banquier ? » Mais
bien sûr, car « c’est dans de telles circonstances que la comparaison
entre le banquier et le médecin de famille prend tout son sens ». C’est
juste la notion de famille qui varie, mais soigner la coqueluche ou le capital,
c’est du pareil au même. Comme quoi, on peut être banquier et avoir de
l’humour. Enfin, si c’en est.
lundi 1 février 2021
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