Comment oublier cette confession, un brin
douloureuse et contrite de Gilles Le Gendre
Comment oublier cette
confession un brin douloureuse et contrite de Gilles Le Gendre, le président du
groupe LaREM à l’Assemblée, à propos de plusieurs mesures de la majorité et au
début du mouvement des gilets jaunes : « Nous avons été trop
intelligents, trop subtils… »
Eh oui, et les Français
étaient trop bas de plafond pour comprendre sa hauteur de vue. Là, c’est une
partie des députés macronistes qui a un peu de mal à suivre. C’est qu’avec une
subtilité renouvelée il a tout bonnement adressé une note à Emmanuel Macron lui
suggérant de remplacer le premier ministre.
Trop fort, au moment ou
le cap devient incertain et le voilà donc contraint à faire machine arrière en
assurant Édouard Philippe de sa confiance, après avoir tenté de le poignarder…
On pense alors à cette phrase cocasse d’Oscar Wilde : « Je suis
tellement intelligent que parfois je ne comprends pas un traître mot de ce que
je dis. » Gilles Le Gendre l’est tellement, lui, qu’il n’hésite même
pas à passer pour un imbécile
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