Pour le dire un peu
trivialement, pour les investisseurs, c’est un peu « par ici la bonne
soupe ». Le problème des marchés, ce n’est pas l’état réel du monde, c’est
où se trouve le grisbi comme on dit chez les Tontons flingueurs. Et
que les salopards n’y touchent pas.
D’ailleurs, c’est sans
surprise le secteur du luxe qui se porte le mieux. À Paris, Hermès, L’Oréal,
LVMH et Kering représentent un quart du total du CAC 40. Commentaire d’un
spécialiste : « Celui qui aurait vendu ses titres Hermès en 2008 à
106 euros serait passé à côté d’une hausse de plus de 700 %. » La
crise, la crise… C’est un truc pour les premiers de corvée.
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