C’est nouveau, dans le Parisien Dimanche, qui
présente une rencontre entre « deux géants », les PDG de
Stellantis (Peugeot, Citroën…) et de Renault, à quelques jours du salon de l’auto. Les Français seraient « autophobes ». Comprendre
qu’ils n’aiment pas les voitures et surtout que l’on entend une petite musique
qui leur est hostile dans « certains cercles dogmatiques ». Lesquels ? Des noms ! S’interroger sur la place de l’automobile aujourd’hui, au regard de la pollution, du temps passé dans les embouteillages, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, du devenir et du développement
des transports publics, relèverait tout à la fois du dogmatisme et d’une
pathologie aux allures de névrose ? Quoi qu’il en soit, Carlos Tavares et Luca de Meo ne sont pas atteints. Pour le
premier, approuvé par le
second, le salon de l’automobile est « un outil marketing que nous mettons en concurrence avec d’autres, par exemple un engagement sportif ou une pub,
pour capter l’attention des visiteurs et des médias ». Qu’importe la voiture si les affaires roulent.
dimanche 2 octobre 2022
« Ça roule », le billet de Maurice Ulrich.
-
Si Picasso s’était appelé Paul au lieu de Pablo, la peinture française aurait sans doute été grandie. Il aurait peint les batailles de...
-
François, Tu nous as quittés, emporté par cette saleté de Virus. Il a emporté aussi des milliers d'entre nous. Cette période a...
-
À chaque réforme des retraites, c’est la même histoire. Celle de la der des ders, qui va accomplir ce que les précédentes réformes n’ont p...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire