« Je ne suis pas là pour tuer ou mettre le feu… » C’est en lançant ces mots qu’une jeune Libanaise de 28 ans, Sali
Hafez, a « braqué », mercredi,
une succursale de la Blom Bank à Beyrouth, avant de diffuser les images sur les
réseaux sociaux, précisant que son arme était un jouet en plastique. Le « butin » serait de
13 000 euros et elle aurait agi, a-t-elle dit, pour sa sœur Zeina, atteinte d’un cancer et dont les soins pourraient coûter jusqu’à 50 000 euros. L’épisode survient alors que la crise économique du pays a plongé 80 % de la
population dans la pauvreté et que la
livre libanaise a perdu 90 % de sa valeur. De nombreux épargnants sont ainsi dans l’impossibilité, depuis trois ans, de retirer leur
argent des banques. La famille de Sali Hafez y avait déposé 20 000 euros. Et voici les autres paroles de la jeune femme,
qui nouent la gorge : « Je suis là pour réclamer mes droits… Je suis venue aujourd’hui pour récupérer l’argent de ma sœur, qui est en train de mourir à
l’hôpital. »
mercredi 14 septembre 2022
« Quel braquage ? », le billet de Maurice Ulrich.
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