À peine Emmanuel Macron a-t-il été réélu qu’on en voit
les conséquences. « Il y a potentiellement des gens au chômage dans six jours », aurait déclaré un conseiller
de l’Élysée, cité par le Parisien, qui évoque Roselyne Bachelot,
Marlène Schiappa, Jean-Michel Blanquer parmi les ministres en sursis. L’une,
parce qu’on ne savait pas ce qu’elle faisait, l’autre, parce qu’on le savait
trop, et lui, parce qu’il a fait trop et trop peu dans sa gestion du Covid à
l’école, en y réfléchissant depuis les plages d’Ibiza. Bref, le climat social
est tendu, pas seulement chez les ministres. En se rendant mercredi sur un
marché de Cergy, dans le Val-d’Oise, où les électeurs qui ont voté à 48 %
pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour ont fait barrage au second à Marine Le
Pen, le président a dû subir une attaque à la tomate cerise, parée par un
parapluie. « Il y a de la symbolique, avait-il dit en arrivant, dans les
premières heures d’un mandat. » En effet, et ce n’était pas du gâteau.
jeudi 28 avril 2022
« La cerise », le billet de Maurice Ulrich.
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