À trois semaines de la présidentielle, il y a ceux qui
s’inquiètent de possibles catastrophes. Éditorialiste du Point, penseur
de plateaux télé, Franz-Olivier Giesbert a peur de l’abstention qui pourrait un
jour amener au pouvoir, dit-il, « Jean-Luc Mélenchon… ou Nathalie Arthaud ». Ajoutons Fabien Roussel pour ne pas être en reste.
Horreur, des politiques qui pourraient contester les régressions sociales,
toucher aux dividendes… De quoi faire des cauchemars. Pour d’autres, c’est plus
terre à terre mais pas moins angoissant. Des députés s’inquiètent des ralliés à
Macron susceptibles de leur piquer leur place. Les petits arrangements méritent
de grands cadeaux. Jean-Michel Blanquer, lui, cherche un terrain où se
parachuter pour les législatives. Il aurait déjà essayé les Yvelines, la
Seine-et-Marne, les Hauts-de-Seine et le Val-d’Oise. « Depuis l’affaire Ibiza, il n’est plus très bankable. » Pas très vendable, donc, commente un habitué des
allées du pouvoir. Mais il n’est pas sans avenir, avec une occasion unique de
mettre en pratique sa vision éducative. On a besoin de profs dans les écoles
difficiles.
lundi 21 mars 2022
« Angoisses »
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