Mais que devient donc Carlos Ghosn ? On ne se posait pas vraiment la question, mais il
faut croire qu’elle taraude la France entière dès le petit déjeuner. Le Parisien, dimanche, nous
donnait de ses nouvelles. Toute la une et trois pages d’entretien avec l’ancien
patron de Renault-Nissan, voué désormais à une vie de réfugié dans sa villa du
Liban, fort heureusement achetée pour lui par Nissan, après qu’il s’est enfui
du Japon caché dans une malle pour échapper à son procès pour malversations
financières. Comme on peut s’en douter il n’a rien fait de mal, sa chute est
une affaire politique et il le dit, « en vérité, je suis la victime ». La preuve quand on parle de ce qu’était son salaire : « Pourquoi ne me compare-t-on pas à la patronne de General Motors ? Mary Barra gagne 35 millions de dollars et pas un mot sur elle, rien. Elle
gère une boîte, moi j’en gérais trois, et je touchais la moitié de son salaire. Et on dit que j’étais gourmand. » On dit ça ?
mardi 15 février 2022
« Victime », le billet de Maurice Ulrich.
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