Comme s’il n’avait que ça à faire ! Se déclarer
candidat, tout bonnement, comme les autres…Fort heureusement, c’est le sémillant Gabriel Attal, dont on ne sait plus très bien s’il est son porte-parole personnel ou celui du gouvernement, qui nous ramène aux vrais enjeux, à la grandeur de sa tâche et à la
raison présidentielle, voire à la raison d’État : « Le président, il a le président Poutine et ses homologues européens au téléphone tous les trois jours,
pour avancer vers la désescalade. Il travaille avec le gouvernement sur l’allègement des
restrictions sanitaires dans un contexte où on a encore énormément de cas
positifs chaque jour… » Bien sûr. « Les Français ne comprendraient pas que là, dans ces jours-ci, le président s’exprime sur la campagne électorale. » On pense donc qu’il le fera, après les Russes,
le virus. Et si ce n’était pas le cas, et si une autre crise arrivait, comme au
Sahel, par exemple, avec la question du Mali et le camouflet infligé à la
France. Ou autre chose, un tsunami, une météorite menaçant la Terre… Ce serait
à Pâques, à la Trinité ? Il n’y pense même pas, à l’élection présidentielle.
jeudi 3 février 2022
« À Pâques ? », le billet de Maurice Ulrich.
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