« Le microcosme n’en peut plus » d’attendre l’entrée en campagne d’Emmanuel
Macron, ironisait dimanche l’éditorialiste du Parisien, qui
consacrait sa une et deux pleines pages au sujet, pour énoncer cette pensée, à
l’évidence profondément réfléchie : « Des
indices concordants laissent penser que c’est pour bientôt. » C’est audacieux mais probable, en effet, avant
le premier tour. Sinon, le journal qui, comme on vient de le voir, prend la
politique très au sérieux consacre ensuite une autre page à ces simples gens
qui sont « ceux par qui les politiques flairent l’humeur du pays, des citoyens comme les
autres qui, par le hasard de la vie, ont croisé la route d’un décideur politique avec qui le courant est passé ». Ainsi nous apprenons qu’un boucher, né le même
jour que le premier ministre, Jean Castex, et qui, pour cette simple raison,
lui avait écrit, a fini par le rencontrer, à la bonne franquette, sans
chichi. « Il nous a fait rencontrer sa femme, sa
chienne, les gens autour de lui… » Qu’en pense la chienne ?
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