Sur CNews Mathieu
Bock-Côté remplace Éric Zemmour. On le dit essayiste, il vient du Québec où
tout le monde n’est pas comme lui. Certains sont même contents qu’il soit
parti. Il lit Charles Maurras, le théoricien antisémite de l’Action française,
et aussi Gabriel Matzneff, qui est de ses amis. C’est donc sans surprise qu’il
a aussi une chronique dans le Figaro, comme Z avant lui. La
presse de droite aime ceux qu’elle appelle les « polémistes », parce qu’ils
sont d’extrême droite. Il y écrit des imbécillités. Ainsi décèle-t-il chez ceux
qu’il appelle les intellectuels de gauche « une étrange fascination
pour la tyrannie » qui ne serait autre que « l’héritage
invisible du marxisme ». Et donc, aujourd’hui « des petits
commissaires politiques qui se prennent pour des journalistes habités par une
tentation délatrice traquent les intellectuels qui ne se soumettent pas à leur
orthodoxie (…), tel est le journalisme de contrôle idéologique qui nous conduit
toujours sur de mauvais chemins ». Vincent Bolloré en est tellement content
qu’il l’aurait déjà augmenté. Ça aide quand on est traqué.
mercredi 15 décembre 2021
« Traqué », le billet de Maurice Ulrich
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