Elle ne fait pas dans la
dentelle, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie
de Montchalin, qui, dans un entretien du Parisien de dimanche,
taille un short à la droite qui n’a « rien appris de ses recettes
éculées », alors que ses candidats potentiels, déboussolés, en sont à
courir après « les propositions de Le Pen et Zemmour ». Pas
faux. La preuve, il y a même ceux qui, « comme monsieur Ciotti ou
madame Pécresse, renchérissent sur le nombre de fonctionnaires à supprimer ». Mais
oui, et c’est juste. Mais, lui objecte-t-on timidement, « en 2017, le
candidat Macron lui-même proposait d’en supprimer 120 000 ». Alors là
madame de Montchalin est ferme : « Il ne s’est pas renié. Depuis 2017
il a dit une chose simple : nous devons supprimer des postes dans les
ministères pour les remettre sur le terrain. » Et, donc, « il
y aura 5 000 postes supplémentaires d’ici à 2022, sans augmenter les
effectifs ». Euh… Bien. Que celles ou ceux qui comprennent nous
adressent une petite note.
lundi 25 octobre 2021
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