Il fallait bien pour en
arriver à une pensée d’une telle profondeur une mission sénatoriale pilotée par
une élue « Les Républicains » de l’Isère, Frédérique Puissat. Son rapport,
donc, portant sur la lutte contre la précarisation et la paupérisation d’une
partie des Français, outre qu’il formule un ensemble de propositions dont la
réduction de la pauvreté par l’emploi – ben oui – et par la
solidarité familiale – allons donc –, explique le pourquoi de la hausse
massive des dépenses sociales. L’aggravation de la pauvreté, qui fait qu’un
ménage sur quatre a du mal à boucler ses fins de mois ? Une fragilité qui le
rend dans l’incapacité de faire face à une dépense imprévue de 500 euros ?
Oui… mais non. En fait, c’est « la dépendance au système de
redistribution » qui explique cette hausse massive. Eh oui, le
problème, ce n’est pas tant que les pauvres sont plus pauvres et plus
précaires, c’est qu’ils sont en quelque sorte drogués au « pognon de
dingue » de l’assistance. Toujours plus. Un seul remède à cette
addiction, le sevrage.
vendredi 17 septembre 2021
« Dépendance », le billet de Maurice Ulrich.
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