Peut-il rester des poils
sur la brosse à reluire dont il fut fait largement usage, mercredi, dans le
grand entretien de France Inter ? Nicolas Demorand et Léa Salamé recevaient
Franz-Olivier Giesbert pour le livre qu’il publie sur Bernard Tapie, sobrement
sous-titré Leçons de vie, de mort et d’amour (Presses de la
cité). Présenté comme un écrivain et journaliste « au verbe haut et à
la plume tranchante », l’auteur est fasciné, le mot est revenu une bonne
douzaine de fois, par « ce monstre d’énergie, à la dimension
christique » luttant contre « le système » et sorti,
l’étable de Bethléem étant déjà prise, d’un taudis de 20 mètres carrés… On
remarqua aussi la pertinence des intervieweurs. « Avec Léa, dit
Nicolas Demorand, nous avons relevé douze fois le mot couilles dans le
livre. » La dimension littéraire n’était donc pas absente de
l’entretien, quand bien même l’auteur avait prévenu : « Je ne suis pas
Voltaire ou Zola. » C’était bien de le préciser. « Indécent », fut
le premier mot au téléphone du premier auditeur. Pourquoi ?
jeudi 17 juin 2021
Le billet de Maurice Ulrich. Pourquoi ?
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