On sait peu de choses
des effets de la crise sur le psychisme. Des pistes s’ouvrent. La semaine
passée, le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, accusait la CGT de
parler de « coronavirus capitaliste », pour s’exclamer « et pourquoi pas un
virus communiste, (…) néolibéral ? Bande de jobards ».
On avait dû lui cacher
qu’un éditorialiste de son propre journal avait titré : « Le virus n’est pas chinois,
il est communiste ». Le même titre cette semaine sur « la soviétisation
rampante de l’économie française », et Franz-Olivier Giesbert écrit : « jouant
toujours le pire, la confrérie des pyromanes associés rêve que le pays reste
encore longtemps à l’arrêt ».
Et qui sont-ils ? Eh
bien, la CGT et les juges qui lui ont donné raison dans l’affaire de Renault
Sandouville : « les juges politisés ont les moyens, à l’image de celui-là,
d’arrêter les usines s’ils le veulent ». C’est ainsi que « les dysfonctionnements
s’accumulent dans notre pays, mère patrie de la bureaucratie, avec l’ex-URSS ».
Bientôt les chars place de la Concorde.
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